« Qu’il se garde d’appartenir à un autre, celui qui peut être lui-même. » Devise de Philippus Theophrastus Aureolus Bombastus von Hohenheim, dit Paracelse. La formule, improprement attribuée à Cicéron serait due d’abord à Ésope dans la fable Les grenouilles qui demandent un roi.
source :
D’autres explications dans : La Lettre À Lila – Réponse D’un Philosophe À La Quête De Sens – Vincent Cueff – Ed Jouvence – Septembre 2015
http://goo.gl/q2RPu1
MAIL DE MON AMIE LISE :
Voici que tournant la page de la seconde semaine de Mars, sur le calendrier devant moi, surgit le but lié à l’image d’un sommet où flottent des drapeaux de prière .
» Si tu as un but dans ta vie qui prend beaucoup d’énergie, qui exige beaucoup de travail, qui engage un grand intérêt et qui est un défi pour toi, tu auras toujours hâte de te réveiller pour voir ce que le nouveau jour t’apportera » Susan Polis Schutz.
Juste après, suivant les pas de Frédéric Baylot je découvre Paracelse et sa devise: « Alterius non sit, qui potest esse sui » ( Qu’il se garde d’appartenir à un autre, celui qui peut être lui-même. ) https://fredericbaylot.wordpress.com/2017/03/05/alterius-non-sit-qui-potest-esse-sui/
Un pas de plus sur la toile et Mooji conclu avec une savoureuse leçon de conduite .
http://spinescent.blogspot.fr/2017/03/de-la-conduite-la-presence.html
Tout cela a surgit sans bruit, venu de nulle part, mince fil de lumière venant sans cesse saluer nos pas.
Lorsque ce qui nous tient en éveil, nous occupe tout entier, défiant nos faiblesses et nos craintes est une prière au Vivant .. chaque jour est Nouveau.
Ce ne peut être ainsi que si nous n’appartenons pas au second en nous, celui qui ne peut voir que ce qui va et vient, troublé par ce qui va se passer, ignorant de ce demeure.
« Il faut rester avec vous, il n’y a que vous » conclut Eric Baret
Lise
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