Dossier sur la vaccination

h

Ces quelques lignes sont extraites d’un dossier très documenté, précis et abordable écrit par Anne Gourvès dans le magazine Nexus n°106 de septembre 2016. À commander d’urgence !!! (ICI)

OBLIGATIONS

En France 3 vaccins obligatoires:diphtérie, tétanos et poliomélyte. Elles sont regroupées dans vaccin dit « trivalent » appelé DTP. Il a été retiré du marché le 12 juin 2008 suite à « une augmentation importante du nombre de manifestations allergiques depuis le début 2008 » (Agence Nationale de sécurité du médicament et des produits de santé -ANSM-).

Tout préjudice éventuel dans le cadre d’un acte médical obligatoire est de la responsabilité de l’organisme ayant imposé cet acte. Cette loi n’est applicable que si c’est la vaccination DTP (qui n’est donc plus commercialisée) qui est pratiquée !

Les parents qui acceptent le vaccin « hexavalents » (incorporant en plus la vaccination contre la coqueluche, l’haemophilus influenza et l’hépatite B) qui remplace le DTP endossent donc seuls les risques d’effets secondaires, puisque ce vaccin n’est pas imposé par la loi. Depuis juin 2008 plus aucun parent ne peut exercer son droit de bénéficier de la réparation intégrale d’éventuels préjudices.

Certains médecins proposent l’alternative du Revaxis (Sanofi) qui n’incorpore que les trois vaccins obligatoires. Mais il n’a pas d’autorisation de mise sur le marché (AMM) pour les enfants de moins de 6 ans et ne peut donc être utilisé en primo-injection, seulement pour les rappels chez les enfants de plus de 6 ans.

Sanofi Pasteur propose une alternative gratuite, un « kit DT-Vax + Immovax Polio » (sans mercure depuis mai 2015) mais qui n’a pas d’AMM pour la France et ne peut donc être commercialisé.

Normalement l’obligation vaccinale n’existe donc plus de fait, puisque personne ne peut imposer de faire une vaccination qui est seulement recommandée (hexavalent).

COMPOSITION

Des produits (comme le phénoxyéthanol) sont interdits d’utilisation dans les produits cosmétiques destinés au siège chez les enfants, mais autorisés en injection pour ces mêmes enfants au travers de la plupart des vaccins. Quant au formaldéhyde, présent dans presque tous les vaccins pédiatriques, il est classé depuis 2004 par le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) comme « substance cancérigène avérée pour l’homme ».

Concernant l’aluminium que contient les vaccins, sa toxicité est largement documentée dans les études scientifiques internationales, principalement ses effets sur le système nerveux. Le conseil d’État a reconnu le lien entre la maladie myofaciite à macrophage (maladie invalidante qui se manifeste par des douleurs musculaires, un état d’épuisement et des troubles de la mémoire et de l’attention) et les vaccins utilisant des sels d’aluminium (2013).

Personne ne sait comment l’adjuvant aluminium fonctionne et ne connaît sa biodistribution (la façon dont il voyage dans le corps et est stocké) dixit une représentante du laboratoire GSK. Des études faites sur des lapines (!) indique que l’aluminium passe rapidement dans le sang, une partie reste sur le site d’injection et une autre partie s’accumule dans les tissus et les organes y compris le cerveau.

Députée, Marisol Touraine écrivait que les familles devaient avoir le choix de pouvoir être vaccinées avec des vaccins sans aluminium. Ministre, elle l’impose. En même temps il a été retiré des vaccins vétérinaires (Mérieux) en 2012.

EFFICACITÉ

« On ne comprend pas comment marchent les vaccins. Le risque potentiel qu’il y ait un problème au niveau des vaccins, ce n’est pas les effets secondaires, ça on connaît, mais c’est l’introduction d’un virus à l’intérieur. » (ancien directeur de production chez Sanofi et maintenant expert auprès de l’OMS). Ce qui, selon lui, s’est passé dans les années 60 avec le SV40 (virus tumogène) sur des vaccins utilisés sur 60 millions d’Américains. Par « chance » il s’est avéré que le virus n’était pas adapté à l’homme.

Il dit aussi « Les vaccins ont été développés de façon empirique, on ne connaît pas le mécanisme qui peut aboutir à l’atténuation d’un virus, comme on ne connaît pas le mécanisme qui permet à un vaccin de répondre de façon précise.

Seule la primo-injection est obligatoire alors que le maintien de taux d’anticorps nécessite plusieurs « rappels » de vaccination.

La capacité d’un vaccin à permettre une réelle prévention d’une maladie n’est pas évaluée, seule l’immunogénicité (présence d’anticorps) est considérée comme une indication de l’efficacité protectrice (Vidal).

TÉTANOS

Ce n’est pas une maladie en elle-même immunisante, alors comment le vaccin peut-il conférer une immunité ?

Le bacille qui le déclenche est anaérobique (ne peut vivre que dans un milieu privé d’oxygène, comme le système nerveux qu’il attaque) dans un tissu sain,irrigué et oxygéné il meurt. Même si des anticorps sont créés par le vaccin dans le sang ils ne pourront défendre une attaque du système nerveux.

Seule l’amélioration des conditions d’hygiène permet de faire baisser le taux de mortalité par tétanos (En 2014 : 3 cas déclarés chez les moins de 70 ans et un cas chez les plus de 70 ans avec un seul décès.)

La poliomélyte a été certifiée éradiquée par l’OMS en 2002 pour toute la région européenne.

Seuls les chiffres après 1945 sont pris en compte pas les instances de santé pour les courbes épidémiologiques car, si avec la guerre, il y avait 45000 cas de diphtérie répertoriés en 1945, en 1938 (obligation de vaccination) le nombre de cas ne dépassait pas 20000. En Allemagne la vaccination a été abandonnée après la guerre pour des raisons économiques et on observe la même courbe de décroissance de la maladie qu’en France.

CONCLUSION

Les vaccins représentent 20 milliards d’euros de chiffre d’affaires en 2012 et atteindrait 42 milliards en 2016. L’industrie du vaccin apparaît comme l’un des secteurs les plus « dynamiques » de l’économie de la santé.

Ces quelques lignes sont extraites d’un dossier très documenté, précis et abordable écrit par Anne Gourvès dans le magazine Nexus n°106 de septembre 2016. À commander d’urgence !!! (ICI)

charley-022

d’autres BD de Charley sur http://charley.baylot.org/

3 commentaires

  1. Le Vaccin Diphtérique et Tétanique adsorbé® fabriqué par Sanofi Pasteur à Toronto (Canada) qui remplace le DTVax® en rupture de stock depuis fin janvier 2015 dans le kit où il est associé à l’ImoVax Polio®, est bien autorisé en France « à titre exceptionnel et transitoire dans le cadre d’une autorisation d’importation ».
    Je crains que vous n’ignoriez l’existence de l’autorisation d’importation délivrée à un établissement pharmaceutique dans le cadre d’une rupture de stock d’un médicament, qui relève notamment des articles L.5121-1 et suivants, L.5124-13 , R.5121-108 à 112 du Code de la santé publique, et sans doute quelques autres…
    Mais il n’est pas normal qu’une revue comme Nexus n’ait pas prie la précaution de vérifier les dires de l’auteur de l’article. Nous allons leur signaler cette erreur.

    J’aime

    1. Merci de votre précision importante
      Je n’ai pour ma part pas les compétences pour mener une telle enquête :mrgreen:
      Il me semble qu’il vaut mieux lire directement le dossier, c’est pourquoi j’ai marqué les liens en début et fin d’article et n’ai tenté qu’un bref résumé.
      Nexus donne un lien de l’ANSM en note (9) concernant ce vaccin.
      Toutefois cela ne change rien à la question que pose la biologiste : qui porte la responsabilité pénale en cas d’effets secondaires pour un médicament qui n’a pas d’AMM

      chaleureusement



      J’aime

Et vous qu'en pensez-vous ?

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.