« Aujourd’hui, 20 ans après cette période d’urgence médicale, je me souviens du bonheur que me procurait ma pratique de la corde à sauter et je crois qu’à travers ma pratique du « Sourire » j’ai retrouvé cette même connexion avec cette « présence intime » que j’avais ressentie petite fille.
Ainsi sans cesse je veille :
- a) à ne pas perdre ma capacité à accueillir les événements désagréables que je ne peux éviter sans les dramatiser ni les ressasser.
- b) En les évitant chaque fois que cela est possible.
- c) En cherchant un sens caché favorable à l’harmonie générale, une motivation et donc la force de franchir l’épreuve.
On dit que le gestuel est un langage dont le corps a besoin pour assimiler nos pensées !
Aussi je consacre 2 ou 3 fois par jour quelques courtes minutes pour exécuter mon petit rituel à moi. (Je suis sûre qu’à la longue le « Sourire » sera à lui seul le gestuel nécessaire et suffisant pour faire passer le message des pensées jusqu’au corps).
Mamilène
« Puissé-je avoir la sérénité d’accepter
les choses que je ne peux changer,
le courage de changer les choses que je peux,
et la sagesse d’en connaître la différence. »
(d’après Marc-Aurèle)
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