Calvin est un petit garçon de 6 ans plein d’imagination, notre chance c’est qu’on la partage dans sa BD. Sauf quand les adultes arrivent et alors tout n’apparaît plus que… comme un adulte le voit. Ainsi Hobbes son fidel tigre en peluche est vivant (et bien que philosophe il ne dédaigne pas de pousser Calvin à faire des bêtises « avec lui ».), mais si un adulte est présent, ce n’est plus qu’une peluche. Le décalage est amusant.
Dans son imagination, ses parents sont des aliens qui sont sur terre pour exploiter Calvin. Il est sûr qu’ils portent des masques, la preuve, le matin au réveil, ils sont tout fripés, leurs masques sont mal mis !!!
Calvin en échange d’un devoir (un herbier) qu’ils vont faire pour lui, vend la terre aux extra-terrestres. Hélas la maîtresse n’appécie pas les feuilles extra-terrestres (des feuilles d’érables découpées bizarrement.).
Cette BD a reçu l’Alph-Art de la meilleure BD étrangère à Angoulême en 92.
Susie, sa fille voisine est son souffre douleur, mais elle sait se défendre.
Il entretient une correspondance avec le Père Noël qui parle du « cas Calvin » !
Sa maîtresse est aussi un personnage intéressnt, près de la retraite, elle est la bête noire de Calvin, je devrais dire de Spiff, le héros de l’histoire (enfin Calvin tel qu’il se voit parfois).